C’est un grand honneur que me fait mon ami l’écrivain Tahar Ben Jelloun en publiant sur son site personnel ma chronique sur Le Droit à l’Echec parue dans La Lettre M et Le Cercle Les Echos il y a quelques semaines.
Pour introduire ma chronique sur son blog, l’écrivain membre de la prestigieuse Académie Goncourt et lui-même Prix Goncourt en 1987 l’a précédé d’un paragraphe personnel, posant ainsi son regard affûté sur cette problématique tellement sensible, particulièrement en France.
Tahar Ben Jelloun est l’auteur francophone le plus traduit dans le monde. Son parcours est jalonné de récompenses et de prix prestigieux. Parmi ses best sellers, La Nuit sacrée, L’enfant de sable, Cette aveuglante absence de lumière, Les amandiers sont morts de leurs blessures, ou encore Le bonheur conjugal.
Tahar Ben Jelloun aime bien Alès où il est venu par deux fois à mon invitation en 1999 et en 2012 animer des journées culturelles à l’Ecole des Mines d’Alès. A cette occasion le Maire d’Alès Max Roustan l’avait honoré en lui décernant la médaille de la ville.
L’actualité de Tahar Ben Jelloun, c’est Cet islam qui fait peur, un bref essai sur le djihadisme écrit après les attentats de 2015 à Paris puis au Danemark. Il vient également de publier une chronique intitulée « Pourquoi la barbarie se propage si facilement ».